Ti’kaniki
Festin Maloya
Issu de l’époque esclavagiste, le « maloya » a longtemps été confiné à des fêtes clandestines,
les kabars, où les esclaves affirmaient leur volonté de liberté à travers une musique de
transe rituelle. Cette musique traditionnelle réunionnaise trouve ses origines dans l’histoire
complexe et douloureuse de celle-ci. Ti’Kaniki poursuit ce processus de transmission à
travers rien d’autre que des chants et des percussions exécutés par tous les participants.
Des passerelles sont créées à partir de ce maloya plein de promesses vers le bahanen
camerounais, le currulao afro-colombien ou encore la rumba cubaine, en veillant toujours à
respecter cette culture et cette énergie unique.
au Périscope
Margaux Delatour (chant guasa)
Théo Pages (percussions, chant)
Luc Moindranzé (roulèr, congas, chant)
Cindy Pooch (chant)
Hadrien Santos Da
Silva (sati, bobre, chant)
Jonathan Volson (roulèr, congas, chant)
au Périscope